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          Ce casque évoque immédiatement les Normands du XIe siècle,
          tels qu'on 
          peut les voir sur la Tapisserie de Bayeux. Très apprécié
          des peuples 
          scandinaves depuis le IXe siècle, il perdure durant tout le XIIe.
          De 
          forme conique avec un nasal caractéristique, ce casque se compose
          de 
          quatre segments reliés par des arceaux extérieurs rivetés.
          
          Casque celte récent Les modèles occidentaux de casque
          sont fabriqués 
          d'une seule pièce alors que les modèles plus orientaux
          (dans la zone 
          danubienne) sont composés de plusieurs pièces rivetées.
          La forme est 
          assez nouvelle par rapport aux modèles plus anciens. On suppose
          que 
          ce type de casque se développe à partir du II ème
          siècle av. J.-C. et 
          perdure probablement jusqu'à la fin de la guerre des Gaules (-52).
          Le 
          timbre peut aussi être arrondi et dépourvu de porte-cimier.
          Le rebord 
          plissé et la forme plus ergonomique des paragnathides évoquent
          le casque 
          de type béotien. Cette translation de typologie a pu s'effectuer
          soit 
          par l'intermédiaire des Galates, soit par des mercenaires gaulois
          dans 
          les armées hellénistiques.
          Le casque a été utilisé par les guerriers dès
          l'Antiquité sur tous les 
          continents. En Europe, selon sa forme, il portait le nom de bourguignotte,
          
          cabasset, heaume, salade (souvent associé à un gorgerin)…
          Il servait 
          à parer les coups d'épée, d'armes contondantes
          (type masse d'arme) et 
          les flèches. Avec l'arrivée des armes à feu, il
          est devenu obsolète, 
          de même que le reste de l'armure. Il est réapparu durant
          la Première 
          Guerre mondiale, pour protéger des blessures occasionnées
          par les éclats 
          d'obus, les Allemands ayant été équipés
          dès le début contrairement aux 
          Français. Actuellement, le casque reste employé par les
          armées du monde 
          entier pour protéger le soldat contre les éclats (de grenade,
          d'obus, 
          de roquette...) ou dévier une balle rasante, mais il est incapable
          d'arrêter 
          une balle le percutant de plein fouet, en raison du pouvoir de pénétration
          
          élevé de ces projectiles. Jusque dans les années
          1980, le casque militaire 
          était essentiellement métallique. Les soldats disposaient
          en général 
          d'un casque léger sur lequel on pouvait ajouter le casque lourd.
          Les 
          casques modernes sont en matériaux composites.
          Le casque de pompiers protège de la chaleur, des chocs (progression
          
          sans visibilité) et chutes d'objets (effondrements). Il peut
          être associé 
          à un appareil respiratoire isolant (ARI) qui permet de respirer
          même 
          dans une atmosphère enfumée ou toxique. Les anciens casques
          étaient 
          en cuir (États-Unis) ou en métal (en France : laiton puis
          inox). Les 
          casques en matière plastique se sont répandus dans les
          années 1980. 
          En France il existe deux types de casques pour pompiers : le casque
          
          F1 pour les feux urbains : ils ont un revêtement de nickel pour
          réfléchir 
          la chaleur, et disposent de deux visières : une visière
          anti-projection 
          (utilisée en secours routier par exemple), et une visière
          dorée contre 
          le rayonnement thermique (l'utilisation des visières est incompatible
          
          avec le port de l'ARI) ; ils sont maintenus par une mentonnière
          ; on 
          peut mettre un couvre-nuque en tissu aluminisé, accroché
          par des Velcro. 
          le casque F2 pour les feux de forêt : c'est un casque plus léger,
          de 
          couleur rouge (pour les hommes du rang); jaune (pour le sous officiers)
          
          ou blanche (pour les officiers), et muni de lunettes de protection et
          
          d'une jugulaire.
          Casque de moto : en cas de chute, le casque est destiné à
          protéger contre 
          le choc avec le sol ou les obstacles naturels, mais aussi à protéger
          
          de l'abrasion provoquée par le glissement sur la chaussée.
          Il est important 
          de noter que, quel que soit le choc (accident, chute,...), le casque
          
          doit impérativement être changé. D'une manière
          générale, un casque se 
          change tous les cinq ans. Le casque de moto a aussi une fonction de
          
          protection des yeux contre le vent, les insectes..., voire une fonction
          
          de confort en comprenant un dispositif de climatisation ou de chauffage
          
          et des haut-parleurs pour écouter de la musique ou un compagnon
          de route. 
          Cependant, encore plus qu'en voiture, l'usage du téléphone
          portable 
          doit être évité, car le risque d'accident est très
          important. autres 
          sports mécaniques : il protège des coups contre les montants
          du véhicule 
          en cas de tonneaux ou d'éjection du véhicule. En cas d'incendie
          dans 
          le véhicule il doit aussi protéger de la chaleur. VTT,
          cyclisme, roller 
          : il protège la tête du cycliste contre les chocs en cas
          de chute, dans 
          le cas du cyclisme sur route ou sur piste. Canoë, kayak : il protège
          
          la tête contre les chocs sous l'eau ou contre les rochers en cas
          de 
          retournement de l'embarcation ou de chute à l'eau. Hockey : il
          protège 
          contre les chocs contre les murs, contre un autre joueur ou au sol en
          
          cas de chute et contre le risque de blessure par un palet. Football
          
          américain : il protège des coups possibles entre joueurs,
          lors des mêlées 
          ou des chutes. Escalade, spéléologie : il protège
          des chutes de pierres 
          d'une part et de chocs contre la roche ; en spéléologie
          il sert également 
          de support à un dispositif d'éclairage. Équitation
          : le casque doit 
          protéger la tête en cas de chute ou contre des branches
          en forêt. La 
          bombe est un modèle ancien et dispose d'une faible capacité
          d'absorption 
          d'énergie. Les chutes de cheval sont souvent accompagnées
          par des traumatismes 
          crâniens graves. La gravité des accidents est liée
          à la hauteur de la 
          chute et au risque piétinement par d'autres chevaux en cas de
          courses 
          hippiques. Une catégorie particulière d'accidents comporte
          un écrasement 
          du jockey par le cheval. Dans cette situation, bien qu'on rencontre
          
          un taux d'hémorragies intracrâniennes élevé,
          ce n'est pas l'écrasement 
          de la tête qui en est responsable mais l'écrasement du
          corps du jockey. 
          L'hémorragie cérébrale est due à l'hyperpression
          veineuse rétrograde 
          provoquée par l'écrasement thoraco-abdominal. Ski : il
          protège en cas 
          de chute violente, notamment dans la pratique du ski freestyle ou freeride.
          
        Equipées d'une visière ou non,
          les salades offraient une excellente protection de la tête, de
          la nuque et du visage. Nos salades médiévales sont toutes
          équipées d'une coiffe intérieure en cuir et d'une
          sangle de maintien avec boucle médiévale. 
        Ce casque léger, d'origine vraisemblablement
          italienne ou française, est conçu pour la protection d'un
          combattant à pied : archer ou fantassin. Sur ce casque, le timbre
          arrondi forgé en une seule pièce est renforcé par
          une crête. Un protège-nuque et un bandeau frontal complètent
          la protection. Ces éléments sont fixés par des
          rivets agrémentés de calottes décoratives en laiton.
          Ces rivets sont destinés : -à fixer le protège-nuque
          et le bandeau frontal au timbre ; -à fixer la garniture interne
          du casque, en cuir ou en tissu, disparue. A l'époque médiévale,
          le terme de « salade » s'applique indifféremment
          en Europe occidentale (sallad, en anglais) à deux types de protection
          de tête. Dans le cas du casque acquis en 1990, le vocable est
          issu de l'italien « celata » - caché, couvert, à
          partir du latin celare - , le casque constituant un dérivé
          du « bassinet » ouvert. Le terme de « salade »
          s'applique également à un type de casque d'origine germanique
          (Schallern - coquille ou bol - , vraisemblablement dérivé
          du « chapel de fer » plus ancien). Ce casque est généralement
          plus lourd et protège mieux la tête du combattant (le bandeau
          frontal devient souvent une véritable visière). Il est
          souvent accompagné d'une « bavière », protégeant
          le menton. Le terme heaume n'apparaît qu'au XIIe siècle
          pour designer une armure de tête. Toutefois, le casque était
          utilisé depuis l'antiquité. Les Grecs portaient déjà
          un casque rappelant par sa forme le heaume du Moyen Age. Le casque romain
          enveloppait exactement le crâne et possédait deux jugulaires
          mais laissait le visage découvert. Il était parfois surmonté
          d'un cimier. Les améliorations successives du casque consistèrent
          à couvrir de plus en plus le visage rendant difficile l'identification
          de son propriétaire. On pense que c'est cela qui a donné
          naissance à l'Héraldique, science des blasons. On peut
          voir, sur la tapisserie de Bayeux, Guillaume de Normandie obligé
          de relever son casque pour montrer à ses hommes qu'il est toujours
          en vie. Vers le Xe siècle, on utilisait le casque conique à
          protection nasale (1) dont l'origine est certainement normande. Il fut
          encore utilisé en certains endroits jusqu'au début du
          XIIIe siècle.
          A partir du XIIIe siècle, le besoin de mieux protéger
          le visage amena la création du heaume cylindrique enveloppant
          la tête entière avec des fentes pour les yeux (2). Ils
          avaient le dessus aplati ce qui était une régression car
          ils étaient plus vulnérables aux coups portés sur
          le dessus de la tête. Ces heaumes étaient lourds et rendaient
          la respiration difficile ce qui explique qu'ils étaient uniquement
          portés pendant le combat. L'amélioration des techniques
          de travail du fer permit de revenir à une forme conique sur le
          dessus du heaume tout en gardant la protection totale du visage (milieu
          du XIIe). Le bassinet, qui apparut vers le début du XIVe siècle
          améliora considérablement le confort du chevalier. Il
          était moins lourd que le heaume du XIIe et équipé
          d'une visière pouvant être relevée ce qui facilitait
          la respiration. Sa forme était étudiée pour dévier
          les coups de lance mais également pour mieux résister
          aux coups de tailles portés par par les épées et
          masses d'armes. Vers la fin du XIVe siècle, en plus du bassinet,
          un nouveau heaume apparaît: le heaume à "tête
          de crapaud" (4). Ses surfaces fuyantes permettaient de dévier
          les coups et il fut très utilisé dans les tournois et
          joutes. Le heaume disparaît complètement à la fin
          du XVe siècle remplacé par l'armet et la salade. l'armet
          (image du haut), plus léger que le heaume et le bassinet, pouvait
          être porté sans fatigue pendant longtemps. La salade (5)
          était une sorte de chapeau de fer allongé à l'arrière
          du cou, possédant ou non une visière mais sans protection
          au niveau du menton. Sa forme fait parfois penser aux casques allemands
          de la première guerre mondiale sans qu'on sache si ces derniers
          s'en sont inspirés.